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Ce n'est pas encore le printemps et pourtant, j'ai fait du ménage. Bon, je ne vais pas dire que ça ne m'arrive qu'une fois par an mais...pas loin. Je
vous rassure, je ne vis pas dans une porcherie non plus mais, personnellement je ne fais presque jamais le ménage. J'ai donc la chance inestimable d'avoir ma maman qui le fait régulièrement...
sauf que, vu son âge, elle ne peut plus vraiment le faire et puis, surtout, elle n'est pas là pour ça.
Alors, y'a des moments où la poussière s'accumule furieusement et je finis par réagir, un jour de grande motivation... Pourtant, je suis super équipée. Mes placards sont remplis de lingettes, de produits divers et variés destinés à cette corvée. Mais, force est de constater que sans huile de coude, rien ne se fait. On a beau se donner bonne conscience en achetant tout ce qu'il faut pour... il manque un ingrédient essentiel : la motivation... C'est un peu comme pour ranger... J'ai investi dans des centaines de boîtes de rangement qui n'attendent qu'une chose, que je range les choses à l'intérieur... Bah oui mais là encore, faut une sacrée motivation... ou une obligation, comme par exemple avoir perdu un truc super important dans le bazar ambiant ou bien recevoir quelqu'un à qui on n'a pas envie de montrer tout ça.
Enfin bref, cet après-midi, j'ai nettoyé et un peu rangé aussi... Et, le pire c'est que j'éprouve un sentiment de satisfaction une fois que c'est fait, même si tout n'est pas parfait et que, javoue, certaines choses ont été simplement déplacées mais pas rangées à un endroit adéquat... Et là, je me dis (et je suis presque convaincue) que si je recommence tout ça la semaine prochaine, ça sera beaucoup moins pénible et que ça me prendra surtout beaucoup moins de temps. Oui, c'est ce que je pense ce soir parce que je suis encore dans le trip... mais une fois l'enthousiasme et l'effervescence passés, que restera-t-il ? La flemme... l'éternelle flemme et cette certitude d'avoir des trucs carrément plus passionnants à faire.
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Le week-end dernier, chez mon ami le P'tit Juju, j'ai découvert un humoriste assez fantastique. Il s'appelle Joseph Gorgoni mais il est connu sous le nom de Marie-Thérès Porchet et ses spectacles sont à mourir de rire. L'action se passe en Suisse, à Gland, et met en scène cette femme d'une cinquantaine d'années qui déteste les Suisses allemands. Elle a un fils, Christian-Christophe dit Choupette, une "amie", Jacqueline qu'elle traite de bécasse régulièrement, une concierge portugaise qu'elle passe son temps à insulter... Une autre particularité, ce sont les adaptations de chansons très connues que Marie-Thérès interprète elle-même tout au long du spectacle.
Je vous ai choisi un extrait où justement il y a une chanson à la fin, une allusion à son fils, à son amie et à sa concierge mais je vous invite à découvrir à travers d'autres extraits (disponibles où vous savez...)cet artiste qui vous fera certainement passer un bon moment !
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En Bretagne, nous n'avons pas d'autoroute mais des voies express (enfin, vers Rennes, si, y'a une autoroute, gratuite, comme le veut la tradition). Lorsque je rentre de Paris, arrivée vers Saint-Brieuc, je commence un peu à en avoir marre de rouler, à m'ennuyer grave, à être à court de CD et donc de distractions... Bref, je commence à chercher une autre occupation pour mon esprit. Et, bêtement, souvent, ça concerne les panneaux routiers et en particulier les distances. Ne me demandez pas pourquoi, j'en sais rien mais ça m'occupe. Et c'est ainsi que j'ai noté un bug sur la voie express menant à Brest.
A un moment, je vois un anneau qui indique "Brest 95 km". Je regarde alors mon compteur kilométrique et je retiens le chiffre qui se terminait par 63... Ok, retenu, on continue... Mais, panneau suivant, je lis "Brest 90 km"... or moi, mon compteur me donne un chiffre qui finit par "75" ce qui signifie qu'entre les deux panneaux, j'ai fait 12 km et non 5 comme cela devrait être
. Et, ce qui est amusant c'est qu'à cet endroit là, je me suis toujours fait la réflexion que je trouvais qu'on mettait beaucoup
de temps à faire ces petits 5 km... Tu m'étonnes, y'en a 12. 
Me demande comment ils(les gens qui font pousser les panneaux routiers) ont pu commettre une telle erreur mais surtout, je ne sais pas à qui il faudrait la signaler parce que c'est très chiant quand tu as déjà 500 km (ou plus !) dans les roues, que tu te crois à 90 km de chez toi et qu'en fait tu en as encore 100 à parcourir...mine de rien, tu prends un coup au moral !Ça change tout ces 10 petits kilomètres, si si, faut pas croire
Alors, si l'un d'entre vous sait à qui s'adresser pour réparer cette erreur monumentale
, je suis à
l'écoute...
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Un truc qui m'amuse depuis que je fréquente la blogosphère (et même avant, sur les forums) ce sont les pseudonymes bidon qui viennent poster des commentaires, souvent désagréables, sur nos blogs. Lorsque quelqu'un vient dans une intention honnête, en général, ça ne le dérange pas de laisser un prénom (même si ce n'est pas le sien, car après tout sur le net, rien n'est jamais certain) ou bien un pseudo choisi qui permet de savoir à qui on a affaire, plus ou moins. Mais, c'est marrant, dès qu'un commentaire est négatif, voire insultant, comme par hasard c'est un pseudo bizarre qui apparaît.
Ici, j'en ai eu un seulement. C'était un certain musclor. Il était venu d'on ne sait où pour critiquer deux ou trois de mes articles sur les fans de Claude François. Ce qui m'amuse c'est qu'après tout, pour passer pour des gens sérieux, ils feraient mieux de mettre aussi un pseudo sérieux... puisque, de toute façon, sur le net, l'anonymat est à peu près possible (à moins de se lancer dans une recherche précise d'un fauteur de troubles qui a laissé forcément traîner son adresse IP là où il a craché son venin...). Une autre fois, j'ai eu un "Julien" qui avait posté un comm' assez étrange, toujours sur un article en rapport avec Claude François, commentaire qui aurait pu me déranger et, comme par hasard, mon meilleur ami s'appelle Julien... Peut-être aucun rapport mais j'avais trouvé cette coïncidence plus que bizarre pour des raisons précises à l'époque : je sais que ça aurait arrangé quelques personnes si j'avais pu me fâcher avec mon ami Julien.
Et donc, chez les autres, j'ai vu aussi des commentaires postés par des pseudos farfelus juste parce que le propos l'était tout autant. Mais, j'ai vu aussi des gens qui ne sont tout simplement pas d'accord avec l'auteur de l'article et qui, comme par hasard, même si leur réaction reste respectueuse, n'osent pas mettre de prénom et choisissent un truc bizarre. Ainsi, j'ai vu un certain "moi"(rigolo comme pseudo) chez ma copine Indigo. Ce "moi" n'était pas d'accord avec ce qu'elle disait mais, après tout, il ou elle avait le droit de s'exprimer. Indigo lui a répondu avec humour en lui disant "Toi", très drôle. Donc, c'est assez surprenant de constater que malgré cet anonymat, les gens se protègent encore plus derrière des pseudos bidon qui, de toute façon, ne serviraient à rien si enquête il devait y avoir, en admettant qu'ils aient dépassé les bornes ce qui n'est pas le cas très souvent. C'est simplement de la contradiction et, un auteur de blog ne peut sincèrement espérer que tous ceux qui le lisent seront d'accord à 100% avec lui donc, il est amené à lire des choses qui peuvent lui déplaire ou avec lesquelles il est en désaccord mais c'est la règle du jeu. Tant que tout se fait dans le respect, il n'y a aucun souci; pourtant on a l'impression que les gens n'osent pas contredire franchement... Ils contredisent mais se planquent, comme s'ils avaient honte ou peur de le faire... si vraiment ils ont peur, ils n'ont qu'à ne rien dire. Et s'ils ont honte, bah, pareil...
Personnellement, j'ai pu profiter de cette opportunité d'être cachée pour balancer certaines vérités ou certains sentiments que je n'aurais sans doute (sûrement) pas dits dans la vraie vie, en face (oui, je sais c'est un peu hypocrite, dans un sens). Je me souviens d'avoir sévi sur un forum et de m'être beaucoup amusée à titiller les uns ou les autres lorsque leur attitude me semblait stupide ou je ne sais quoi. Mais, j'ai agi dans la lumière avec mon vrai prénom (sauf à un moment où j'ai été chassée de ce forum de façon injuste et injustifiée)... Ce qui fait que les Béatrice sont carrément bannies d'office d'un forum consacré à Cloclo et je trouve ça hilarant. Ils ont même viré une pauvre Béatrice qui n'avait jamais rien dit ni rien fait mais qui avait le tort de porter le même prénom que moi
L'attitude des internautes est parfois déconcertante en tout cas... 7 commentaires
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Vous êtes en quête de sécurité 
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Votre besoin de vous fier à l’autre – ou à vous-même – est aussi fort que celui de vous libérer de ce lien, ce qui induit des tiraillements inconfortables, voire douloureux. Pour combattre cet état et vous protéger des atteintes à cette liberté, vous avez développé curiosité, aventures, exotisme, mais également sens de l’observation, souci du détail et imagination.
Cette attention à votre sécurité est sans doute orientée par des blessures du passé, maladie, manque de soins, insécurité ou, au contraire, soins étouffants et attentes parentales excessives. Vous cherchez à les soulager, voire à les guérir. Mais qu’un empêchement survienne, et la peur s’installe. Qu’une situation réactive un moment du passé où vous avez été dans l’impossibilité de faire confiance, à vous-même comme aux autres ou aux choses, et la réaction de défense prend les commandes : « Courage, il faut fuir ! » La peur agit en vous comme un filtre (danger-pas danger), quel que soit l’objet de cette peur, donc la réalité du danger. En somme, vous vous agitez pour éviter d’être blessé.
Un conseil : pour trouver un accord en vous entre doute et confiance, respirez profondément. Quand ce mouvement est fait en conscience, il redonne confiance en soi. Autorisez-vous alors à « re-sentir » la peur qui s’est réanimée. Non pas pour re-vivre la souffrance, mais pour découvrir les différents choix de réaction qui s’offrent- à vous, temps de réflexion que vous n’avez pas eu dans le passé tant il vous fallait réagir dans l’urgence.
Voilà le résultat d'un test que j'ai fait sur test-et-vous_... Je sais pas, comme d'hab' il y a du vrai et du moins vrai... Normal, me direz-vous, c'est toujours comme ça les tests. Non, mais c'est sympa à faire... votre commentaire
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