• Si ça vous tente, voici un petit texte à déchiffrer pour passer le temps



    UN B34U JOUR D'373, J'37415 5UR L4 PL4G3 37 J3 R3G4RD415 D3UX J3UN35 F1LL35 JOU4N7 D4N5 L3 54BL3. 3LL35 CON57RU15413N7 UN CHÂ734U D3 54BL3, 4V3C 7OUR5, P4554G35 C4CH35 37 PON7-L3V15. 4LOR5 QU'3LL35 73RM1N413N7, UN3 V4GU3 357 4RR1V33 37 4 7OU7 D37RU17, R3DU154N7 L3 CH4734U 3N UN 745 D3 54BL3 37 D'3CUM3.J'41 CRU QU'4PR35 74N7 D'3FFOR7, L35 F1LL37735 COM3NÇ3R413N7 4 PL3UR3R, M415 4U CON7R41R3 3LL35 COURRUR3N7 5UR L4 PL4G3, R14N7 37 JOU4N7 37 COMM3NÇ3R3N7 4 CON57RU1R3 UN 4U7R3 CHÂ734U. J'41 COMPR15 QU3 J3 V3N415 D'4PPR3NDR3 UN3 GR4ND3 L3ÇON. NOU5 P455ON5 UN3 GR4ND3 P4R713 D3 NO7R3 V13 4 CON57RU1R3 D35 CHO535 M415 LOR5QU3 PLU5 74RD UN3 V4GU3 L35 D3MOL17, L35 53UL35 CHO535 QU1 R3573N7 5ON7 L'4M1713, L'4MOUR 37 L'4FF3C71ON 37 L35 M41N5 D35 G3N5 QU1 5ON7 C4P4BL35 D3 NOU5 F41R3 5OUR1R3.



    3 commentaires
  • Je voulais écrire mon dernier article au sujet des chansons qui marquent un souvenir précis de ma vie et voilà que le lecteur "deezer" est encore en panne. Bon, dans un sens ça m'arrange parce que j'avais du mal à trouver quelque chose pour ce dernier article sur les chansons. Non pas qu'il n'y a plus de chansons que j'aime, et heureusement ! Mais je n'ai plus de souvenirs très marquants qui me reviennent en tête par rapport à une chanson en particulier... Je m'aperçois qu'en comparaison avec beaucoup d'autres personnes, je n'ai pas vécu. Enfin, si, évidemment, je vivais... mais je n'ai pas eu de "vie" à proprement parler. Souvent, c'est des souvenirs d'adolescence en folie qu'on raconte dans ces cas-là mais j'ai toujours été sage et je n'ai pas eu d'adolescence au sens où on peut l'entendre. Pas de sorties, pas de copines pour faire du shopping, pas de petit copain, pas d'amis non plus pour délirer. Juste un journal intime dans lequel je me disais que ma vie n'avait aucun sens...

    Alors, en attendant que je puisse retrouver une chanson, je vous mets la video d'une musique qui a inspiré l'une des premières pages de ce journal intime. Je devais avoir 15 ans à peu près...


    2 commentaires
  • Quelle effervescence depuis hier autour du malaise du président de la République ! Entre deux incendies en Corse et quelques touristes sur les plages, ça occupe en cette fin de mois de juillet où il ne se passe apparemment pas grand chose... Depuis hier, on revoit les anciens présidents et leurs maladies plus ou moins cachées et on se demande ce que cacherait bien ce fameux malaise... Ben oui. On ne sait jamais. Il n'y a pas de fumée sans feu, la preuve, les incendies en Corse... Et puis, bon, le Tour de France est fini, il faut se trouver un sujet de préoccupation.

    Ils ont dû tenir 10 minutes pour dire qu'ils n'avaient rien à dire tout à l'heure. Vues sur le président qui sort de l'hôpital, vue sur l'hôpital lui-même, interviews de passantes qui se demandent ce qu'on ferait sans notre président et qui lui souhaitent chaleureusement un prompt rétablissement... Puis, retour au malaise pour dire que ce n'était rien, qu'il n'aura pas de traitement mais qu'il lui faut du repos. Puis explication "scientifique" de son malaise. Puis on va à l'Elysée pour constater que la vie a continué sans lui et surtout pour annoncer qu'il n'est pas revenu à son bureau... Ah ah, et qu'est-ce que ça pourrait bien cacher ça ? Ben rien... Les médecins lui ont préconisé du repos... donc, il se repose et à sa sortie de l'hôpital, il n'allait pas se pécipiter dans ses dossiers.

    Et puis retour sur les anciens présidents et sur les secrets médicaux qu'on nous a toujours cachés sauf quand le président était mort, là, c'était plus difficile de se taire et de dire que tout allait bien. Donc, sait-on tout sur l'état de santé de notre président ??? Connaît-on la date de son dernier rhume ? La marque de ses mouchoirs ? S'il préfère du sirop ou des suppositoires ? JE VEUX SAVOIR !!! C'est important pour l'avenir de mon pays ! J'ai le droit de savoir, non mais, TOUT me regarde !

    5 commentaires

  • Je rebondis sur le dernier article de Yentl consacré au sentiment qu'elle éprouve depuis la mort de Michael Jackson. A un moment, elle se demande un peu pourquoi on a de la peine lorsqu'un artiste meurt alors que, finalement, c'est quelqu'un qu'on ne connaît pas et que, sans doute, on n'aurait jamais connu. Combien de fois j'y ai pensé moi-même à propos de ma passion pour Claude François ! Et combien de fois ai-je entendu des gens me faire la remarque aussi.

    A force, on se dit qu'on ne doit pas être normal. Se passionner pour un artiste ok mais avoir autant de peine lorsqu'il meurt, ça paraît louche aux yeux de ceux qui n'ont jamais connu ça et qui, par conséquent n'imaginent même pas le connaître un jour. On a toujours tellement de mal à se mettre dans les baskets des autres !

    Les artistes sont des gens qui sont présents dans notre vie sans pour autant en faire partie. On les voit, on les écoute, on suit leur carrière et leur évolution. Ils représentent beaucoup de choses : on aime leur musique ou leur jeu si ce sont des acteurs. Dans le cas d'un Michael Jackson, même si on ne le voyait plus vraiment, il faisait partie du paysage musical depuis tellement longtemps qu'on ne risquait pas de l'oublier. C'était devenu une référence, sinon LA référence en matière de STAR mondiale. La longévité associée à la popularité fait qu'on n'imagine même pas voir ces gens disparaître... et d'ailleurs, contrairement à nous, pauvres humains banals, ils ne disparaissent pas complètement. Je pense que dans plusieurs décennies, on parlera encore de Michael. Il n'empêche qu'une disparition comme la sienne fait un choc, d'autant plus à la veille d'un retour sur scène que beaucoup de gens attendaient avec impatience.

    J'ai été très malheureuse de la mort de Claude François qui m'avait fait un véritable choc aussi même si je n'avais que 7 ans et des poussières. Et très longtemps, je trouvais cette mort injuste et en quelque sorte, je ne m'en remettais pas... Pendant plusieurs années, je refusais même d'écouter qui que ce soit d'autre. A chaque 11 mars, je me sentais triste... et puis, j'ai grandi, j'ai vieilli... J'ai rencontré des gens qui sont devenus des amis. Claude François qui "m'accompagnait" alors que je me sentais très seule, a cédé la place à des gens bien vivants, bien concrets et surtout bien présents.

    Et puis, l'expérience de l'Amicale Claude François, même si elle a été très belle et si elle m'a justement permis de rencontrer des amis précieux, a été l'occasion de voir quelles proportions délirantes et même inquiétantes peut prendre le fanatisme et la folie pour un artiste. Je me suis dit que j'avais peut-être été comme ça... et même, je pense qu'à 15 ans j'étais effectivement aussi monomaniaque et qu'on devait aussi me prendre pour une allumée... J'ai donc bien changé... j'aime toujours Claude François, j'aime bien l'écouter et le voir. J'ai toujours quelques photos ou posters chez moi parce qu'il fait partie de ma vie et que je ne le renie pas. C'est simplement que mes priorités ont changé.


    J'ai eu besoin de m'attacher à Claude François pour avoir l'impression d'être comme tout le monde puisque lui, j'avais le droit de l'aimer comme un père ou un frère ou un ami idéal. Je me disais même qu'il était une sorte d'ange gardien... On s'accroche à ce qu'on peut quand on se sent seul et rejeté de partout. J'avais conscience que Claude François vivant n'aurait pas été différent des autres et qu'il ne m'aurait pas regardée mais là, je pouvais rêver... ça m'aidait à survivre en quelque sorte... Je me disais que je vivais pour lui, que mon "amour" pour lui faisait qu'il ne serait pas tout à fait mort. C'est con mais on n'est jamais très réaliste à l'adolescence.

    J'admire d'autres artistes aujourd'hui et je sais que j'aurai beaucoup de peine lorsqu'ils disparaîtront... C'est évident. Je ne pense pas que ça reprendra les proportions que ça a pu prendre pour Claude mais je sais que ça me rendra très triste parce que ces gens font partie de mon univers depuis très longtemps aussi et que même sans les connaître personnellement, ils sont là et je les aime bien.

    2 commentaires
  • "Soyez polis envers tous, mais intime avec peu; et choisissez les bien avant de leur faire confiance." (George Washington)

    Je pense que cette citation résume assez bien ma façon d'être. Certes, je peux paraître "sauvage", certes j'ai du mal à accorder ma confiance et à aller vers les gens, mais une fois que la glace est brisée, et une fois que "des preuves" ont été données, ma confiance est totale. En revanche, comme le dit la citation, je suis polie avec les gens en général mais intime avec très peu de personnes.

    Que sont ces preuves dont j'ai besoin pour devenir "intime" avec quelqu'un ou que quelqu'un devienne "intime" avec moi ?Oh, pas grand chose finalement. Des attentions régulières, y compris dans les moments difficiles, de la fidélité, du temps. C'est facile de se dire "amis", c'est beaucoup plus difficile de l'être réellement. J'ai peu d'amis réels et je ne tiens pas à en avoir beaucoup parce que je ne pense pas que l'amitié soit "multipliable" à l'infini. J'ai mis du temps à faire confiance à ces amis qui sont, effectivement devenus des "intimes".

    Je ne veux pas être hypocrite et faire croire que je deviens l'amie de tous ceux que je croise sous prétexte qu'on semble bien s'entendre. Je sais que des gens ont besoin de ça ou bien aiment ce sentiment de s'être fait un ami dès qu'ils ont rencontré quelqu'un avec qui le courant est bien passé. Pourtant, selon ma conception, ça ne suffit pas. Cela dit, je ne critique pas leur façon de faire, ils ont peut-être raison d'ailleurs. Ils ont en tout cas plus de chance que moi de rencontrer de nouvelles personnes et donc de se faire de nouveaux amis... mais, je ne peux pas agir ainsi.

    Je me souviens d'une fille à la fac avec qui je m'entendais assez bien. Elle me savait plutôt solitaire, timide et même un peu sauvage (oui, cet adjectif revient toujours, je sais) et un jour je lui ai raconté que j'avais passé plusieurs heures à discuter avec une autre fille qui était en cours avec moi. Ma copine me dit aussitôt :"Oh, je suis contente que tu te sois fait une amie !" Une amie ? Non. J'avais passé un bon moment en sa compagnie et j'espérais la revoir et avoir à nouveau l'occasion de parler avec elle. Mais elle n'était pas une amie.

    D'ailleurs, par la suite, je suis restée quelques années en contact avec elle sans qu'elle ne devienne jamais une véritable amie et cela doit bien faire une dizaine d'années que je ne l'ai plus revue ni entendue. Cela n'enlève rien au fait que je m'entendais bien avec elle, que je l'aimais bien, que nous avons partagé certaines choses ensemble. Mais ce n'est pas une amie. Ça ne l'est jamais devenu alors comment aurais-je pu dire qu'elle en était une le lendemain de ma rencontre avec elle ?Je ne connaissais même pas son nom de famille, je ne savais quasiment rien d'elle à ce moment-là. Et réciproquement. Nous avions bien parlé de nos cours à la fac, de notre parcours scolaire... mais en dehors de ça, nous ignorions tout l'une de l'autre alors, comment parler d'amitié ?... Et même, là encore, plusieurs années après je savais plus de choses sur sa vie mais ça n'a pas fait que nous sommes devenues amies. Nous sommes restées "copines" pendant un certain temps, c'est tout.

    Le fait d'avoir peu d'amis et même de connaître assez peu de gens comparativement à d'autres ne me dérange pas. Mes amis ont des privilèges que n'ont pas mes copains; mes copains ont des privilèges que n'ont pas mes connaissances. Si je commence à tout mélanger et à me confier autant à une vague connaissance qu'à un ami intime, que pensera cet ami ? Que finalement j'agis avec légèreté, que je n'accorde aucune valeur particulière à la relation privilégiée que nous avons puisque je fais la même chose avec quelqu'un que je connais à peine.

    J'aime vraiment avoir une relation privilégiée avec des gens. C'est ça qui me fait dire que nous sommes amis. C'est mon petit bonheur à moi. Un bonheur simple mais capital et même vital. J'aime avoir de temps en temps la preuve qu'on me fait confiance, à moi, plus qu'à quelqu'un d'autre peut-être. Et j'espère que mes amis pensent la même chose. Qu'ils savent que ce que je leur donne de moi, je ne le donne pas à tout le monde de la même façon. C'est ça qui fait que nous sommes amis au sens véritable du terme. Et si j'apprends que de leur côté ils se mettent à se confier à quelqu'un qu'ils viennent de rencontrer comme à moi, j'en suis profondément blessée... je me demande quelle importance j'ai à leurs yeux si un inconnu peut en savoir autant que moi... et en moins longtemps en plus. Je me dis que notre relation que je pensais particulière ne l'était absolument pas. Le privilège saute. L'amitié prend du plomb dans l'aile...

    Mais je réagis de la même façon avec quelqu'un qui, selon moi, se met trop vite à me parler d'amitié entre nous... je ne lui fais pas confiance ou en tout cas, je suis prudente. Je me mets alors à la place de ses amis et s'il me confie tout tout de suite, je me dis que ses amitiés ne doivent pas être bien sérieuses ou profondes. Je ne prends pas ses confidences comme une marque de confiance, mais plutôt comme un besoin de parler, de se raconter... caractéristique qu'on rencontre parfois, qui, encore une fois n'est pas condamnable, et que je ne juge pas mais qui n'attire pas ma confiance au premier abord. Ensuite, encore une fois, il n'y a pas de règle absolue et figée, bien sûr... et quelqu'un qui s'est confié très vite, qui a parlé d'amitié très vite peut, évidemment, devenir un vrai ami si la relation perdure et s'approfondit dans la durée.

    D'un ami, je peux connaître les secrets (bon, pas tous, faut pas exagérer non plus), les failles, les joies, les peines profondes, les espoirs, les désirs, les besoins... Et il connaîtra tout cela de moi aussi, à force de confiance, au fil du temps, lorsque nous nous serons prouvé que nous comptons l'un pour l'autre.

    Un copain connaîtra certaines choses aussi mais sans doute moins et une connaissance n'a pas à savoir tout ça... sauf si par la suite  les circonstances font que cette connaissance devient un ami, évidemment (comme je l'ai dit, rien n'est jamais figé). Je ne ferme pas la porte à qui que ce soit mais je n'ai pas non plus le besoin de me rassurer en me disant que j'ai une quantité astronomique d'amis.

    Sinon, si j'éprouvais ce besoin ce  serait le signe que les amis que j'ai, en qui j'ai confiance, que j'aime tout simplement, ne me suffisent pas... qu'ils ne sont pas "à la hauteur" de ce que j'attends d'un ami au point que je me sente obligée d'en chercher partout un autre ou même plusieurs autres. Or, mes amis me comblent de bonheur. Si quelqu'un vient se rajouter, je ne le rejetterai pas, c'est évident... mais notre relation devra, comme toutes les autres, faire ses preuves.

    Pendant longtemps, j'ai eu seulement 3 amis véritables. (de 17 à 30 ans environs). La vie a fait que j'en ai perdu deux sans doute parce que je m'étais trompée... ou bien parce que leur vie a changé tout simplement. D'autres sont venus s'ajouter à une époque où je me sentais très très seule... Ce n'est pas pour cela que j'ai parlé d'amitié trop vite, que j'y ai cru trop tôt même si je crevais de me sentir si seule. J'avais l'espoir qu'on devienne amis parce que c'était des gens que j'appréciais vraiment beaucoup mais j'ai refusé de précipiter les choses. Et lorsque l'un d'entre eux, qui est justement devenu l'un de mes amis intimes  depuis, a employé un jour le mot "amis" en parlant de nous, j'étais aux anges parce que c'est ce que j'espérais... mais j'ai laissé le temps faire son oeuvre afin de ne pas me bercer d'illusions et souffrir de m'être emportée trop rapidement.

    Il est vrai que j'attends souvent que ce soit l'autre qui me parle d'amitié un peu comme si je ne m'en donnais pas le droit même si je pense , de mon côté, qu'une amitié est née. Lorsque je sais que je peux le dire, j'en suis heureuse mais avant, je ne me permets pas de peur que l'autre personne ne soit pas dans les mêmes sentiments et que je ne sois qu'une simple copine à ses yeux.

    Alors, c'est vrai. A cause de ces principes et de ces craintes, je peux passer pour quelqu'un de sauvage voire de distant. Je sais que je le suis au premier abord. C'est par auto-protection, tout simplement. Et c'est une sorte de filtre dans un sens parce que tous ceux qui n'aiment pas ce côté de ma personnalité ne sont pas restés près de moi et n'ont pas eu l'occasion (ou l'envie) de devenir mes amis. Sans doute qu'ils auraient préféré que je leur saute au cou et que je me confie à eux très vite... sauf que je ne fonctionne pas comme ça, je suis incapable de le faire.

    Mes expériences passées m'ont appris à être prudente... parce que ma nature profonde , je crois, c'est d'avoir envie d'être entourée, c'est d'avoir l'impression d'être aimée et de pouvoir dire que j'aime les gens, de me sentir le droit de le dire aussi. Mais, malheureusement, la vie m'a appris que lorsqu'on se donne trop tôt, lorsqu'on y croit très fort trop vite, on tombe souvent de haut et ça fait très mal. On m'a aussi trop souvent fait comprendre dans ma jeunesse que je n'avais pas tout à fait la légitimité qu'il fallait pour aimer quelqu'un, même par amitié (l'amour, n'en parlons pas, c'est un sujet qui fâche!).

    Je ne dis pas que ma méthode "distance puis confiance" est infaillible et que les amitiés auxquelles je tiens ne s'effondreront jamais mais, disons qu'elles ont passé des caps importants, qu'elles perdurent depuis plusieurs années dans la régularité et c'est ça qui compte, à mes yeux du moins. On peut toujours évidemment se fâcher. Personne n'est à l'abri de ça. Mais j'essaie de faire en sorte que ça n'arrive pas même s'il m'arrive d'être maladroite, de mauvaise humeur, désagréable ou je ne sais quoi. Personne n'est parfait...

    Mes amis sont des gens à qui j'ai donné ma confiance parce que je pense qu'ils la méritent. Je pense qu'ils m'ont donné la leur pour les mêmes raisons. Nous avons une relation privilégiée à laquelle je tiens sincèrement et profondément et à laquelle ils tiennent sans doute aussi. Nous avons appris à nous connaître et à nous accepter tels que nous sommes... Le temps semble nous donner raison. Je veux croire que ce sont des amitiés véritables.


    6 commentaires



    Suivre le flux RSS des articles
    Suivre le flux RSS des commentaires