• Dans le cadre d'un éventuel futur projet, j'aimerais votre participation. Oh, pas grand chose. J'aimerais juste que vous me donniez la (ou les) expression(s), phrase(s), mot(s) qui vous énervent le plus. Le truc qu'il ne faut surtout jamais vous dire sous peine de vous énerver ou de vous déprimer, de réveiller le dragon qui sommeille en vous. Le mot malheureux qu'il vaut mieux garder pour soi dans certaines circonstances, qu'elles soient heureuses ou malheureuses. Les phrases toutes faites dans le style "un de perdu dix de retrouvés" qu'on n'a absolument pas envie d'entendre lors d'une rupture amoureuse. 

    J'attends vos contributions, ici ou sur FB pour ceux qui préfèrent ! 

    A vos claviers ! N'hésitez pas, lâchez vous ! Toute idée peut être bonne !


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  • C'est quand même bizarre, les réseaux sociaux. D'un côté, on apprend tout (et quelquefois n'importe quoi) sur la vie des uns et des autres au point qu'on a l'impression de connaître ces vies par coeur... D'un autre côté, on n'est même pas au courant que quelqu'un est mort. Aujourd'hui, j'ai vu que c'était l'anniversaire d'une personne parmi mes contacts. Une femme qui tenait un blog depuis longtemps sur ses pérégrinations parisiennes avec son petit chien, Pistol. Cette dame est décédée au mois de mai. Je l'ai découvert il y a peu, au début de l'été parce que soudain, j'ai pensé à elle sans trop savoir pourquoi. Je suis allée sur son blog où plus rien n'était publié depuis de longs mois. Et c'est en m'aventurant dans les commentaires que j'ai appris la triste nouvelle. Du coup, j'ai fait un saut sur FB où son fils annonçait effectivement que sa maman était décédée. Il y avait pas mal de témoignages suite à cette annonce... donc, impossible de passer à côté... Et pourtant... J'ai vu ce matin que pas mal de monde lui souhaitait son anniversaire. Certains, en précisant qu'ils avaient une pensée émue en ce jour... là, ok. Mais d'autres lui disaient "Joyeux Anniversaire, j'espère que tu vas bien !"... Gloups... Tout ça parce que sur FB tu peux juste écrire le message sans aller sur la page de la personne. Donc, ces gens ont vu que c'était son annif et hop, ils l'ont souhaité, sans passer par la page et découvrir la triste réalité. 

    Vous allez me dire que la page de cette dame aurait pu être fermée par ses proches afin d'éviter ce type de désagrément. Sans doute. Cela n'a pas été fait et on peut supposer qu'après tout, un peu comme sur un livre de souvenir, ceux qui le souhaitent peuvent continuer à venir déposer une pensée sur cette page, sorte d'hommage virtuel "éternel". Pourquoi pas ? C'est finalement juste là, et j'imagine à d'autres moments de l'année lorsqu'on se souhaite des trucs et des machins, que les messages de ceux qui ignorent pourront être incongrus, voire mal venus (même involontairement). 

    Cela prouve, tout simplement qu'on n'en a pas toujours grand chose à faire de nos contacts FB. J'imagine que ceux qui se targuent d'en avoir des milliers savent à peine ce qui arrive à une dizaine d'entre eux, et encore, je suis large ! De toute façon, c'est impossible de tout suivre... Il y a plein d'infos qui échappent, c'est évident. Et inévitable. C'est l'un des nombreux paradoxes des univers virtuels où, finalement, la proximité qu'on a l'impression d'avoir avec les gens est assez relative. Au final, ceux de qui on s'inquiète (j'espère au moins un peu) sont ceux qui nous sont proches et les autres, ceux qu'on appelle à juste titre des contacts, on les aperçoit de temps en temps mais à peine...


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  • Après mes vacances à Perpignan, retour à la vie normale mais toujours en mode repos. J'ai plein de trucs à faire, en particulier du rangement. Mais ça... c'est toujours galère. Je dois me remettre à écrire aussi. Ici, sur le blog, plus régulièrement mais surtout des nouvelles et/ou des poèmes afin de "publier" un autre livre. Oui, j'y ai pris goût. Je ne compte pas m'arrêter là. Ce n'est pourtant pas pendant les vacances que j'ai écrit tous les autres textes mais c'est quand même la période idéale, sauf si l'inspiration n'est pas au rendez-vous... et ça, ça ne se commande pas, hélas. 

    Parfois, des idées me traversent l'esprit mais de là à les mettre en mots, c'est une autre affaire. Enfin, je ne m'inquiète pas trop parce que la nécessité d'écrire ne disparaît jamais et je sais que j'écrirai encore. Au moins ici. 

    Sinon, voici quelques photos de mon séjour dans le Sud :

    Le départ Le départ en zavion: on voit Brest à droite et puis les ponts de Plougastel. 

    canetLa plage de Canet en Roussillon... 

    canetonsDes canetons obéissants à Collioure (je dis obéissants parce que quand maman cane les a appelés, ils ont rappliqué vite fait !)

    collioureLa photo de Collioure qu'on n'a pas de droit d'oublier avec le monument super connu qu'on voit toujours.

    collioureCe qui se trouve en face de Collioure

    collioureLà, c'est quand on monte avec le petit train touristique, à 300 mètres d'altitude (chose que je n'aurais JAMAIS faite sans cet efficace petit train aux sensations fortes comme le dit la brochure !)

    port vendresEt pour finir, une vue de Port-Vendres (toujours dans le petit train).

    Et voilà... Le Sud c'était bien parce qu'il y a mes amis que j'aime beaucoup, beaucoup (et que sinon, je ne verrais pas)... car même s'il y a des coins très jolis,  ça reste une région trop chaude pour moi et puis, surtout, je reste une amoureuse folle de la Bretagne.

     

     


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  • Objectif des vacances : repos, amis, détente. Ne rien faire. Ne rien avoir besoin de faire, là, tout de suite. Ne pas avoir à réfléchir à ce qui se passera demain ou la semaine prochaine. Ne plus penser aux cours à préparer ou aux copies à corriger. Ne plus avoir à faire semblant... 

    Objectivement, cette année scolaire n'a pas été la pire. Loin de là, je dirais. Elèves plutôt sympa, pas trop besoin de râler, même pas du tout souvent. Alors pourquoi ? Il me reste une bonne vingtaine d'années à faire (en théorie) et déjà je décroche... Quelqu'un m'a demandé ce que j'aimerais faire d'autre. Hélas, rien de compatible avec les exigences de la vie réelle. Je suis raisonnable. Je ne fais pas n'importe quoi. Je réfléchis. Je ne me lance pas tête baissée et je n'ai plus vingt ans. Je n'ai plus l'âge de croire qu'on peut vivre de ses rêves. D'ailleurs, je n'en aurais pas le courage. Je ne l'ai jamais eu. Et puis, mes rêves c'est n'importe quoi. C'est un rêve de gamine qui a toujours été présent en toile de fond parce qu'une part de moi n'a pas grandi. Et ne grandira pas. C'est un peu le "quand j'serai grande, j'serai maîtresse d'école" qui s'est réalisé (alors que je ne l'envisageais même pas)et m'a obligée à, en effet, raisonner comme une grande... alors que derrière, il y avait (et il y a toujours) un "quand j'serai grande, j'serai écrivain"... sauf que cette partie de moi ne devient pas grande... et conserve, comme un trésor, le rêve d'une enfant. 

    Et puis, ce métier a des avantages. Je les connais. Je me les répète chaque jour... lorsqu'on ne me les répète pas. Non, sincèrement, c'est vrai. Il y en a. Alors pourquoi ? Pourquoi cette année a-t-elle été plus difficile ? 

    Objectif vacances : retrouver l'envie... au moins un peu. 


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