• Grâce à Pensée je vais réaliser ce tag. Personnellement, j'adore ça, moi, les tags. Je sais pas pourquoi... 

    Règles du tag : écrire 6 choses, tics ou habitudes qui nous concernent

    n°1 : J'ai la phobie des araignées mais j'ai été obligée de cohabiter avec elles pendant quelques mois alors que je vivais dans une maison à la campagne et ma phobie s'est un peu estompée.

    n°2 : J'adore passer des heures au téléphone.

    n°3 : Ma mère est venue vivre chez moi depuis quelques mois. Elle a toujours son appartement mais elle préfère être près de moi et j'aime aussi la savoir pas trop loin.

    n°4 : Je suis totalement indifférentes aux bébés et aux enfants mais je vais facilement vers les chiens ou les chats afin dde leur faire un p'tit câlin.

    n°5 : Je n'ai plus porté de robe depuis l'âge de 7 ans.

    n°6 : Je donne toujours l'impression d'être zen mais c'est une façade.


    Je passe le relai à qui veut bien faire ce tag. Il est assez sympa, je trouve.


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  • Il y a quelques années, lorsque j'avais rendez-vous chez mon médecin, j'attendais en gros un quart d'heure avant de passer dans son cabinet. Aujourd'hui, c'est bien différent. Un nouveau docteur s'est installé et il faut compter entre 45 minutes et 1 heure avant d'être enfin appelé. A chaque fois, je pense que je devrais arriver avec 30 minutes de retard par rapport à l'heure prévue afin d'avoir moins longtemps à attendre mais, je me dis que comme par hasard si je faisais ça, il serait à peu près dans les temps et je raterai mon tour. Donc, bête et disciplinée, j'arrive toujours avec quelques minutes d'avance et j'attends donc, patiemment, de longues longues minutes. 

    Récemment, j'ai donc vu trois fois la salle d'attente en peu de temps et j'y ai passé en gros 2h30 en tout. Autant dire que j'ai eu le temps d'observer les autres patients, les plus nombreux banals, certains amusants, d'autres fort agaçants. Par exemple, l'autre jour, il y avait tellement de monde que certains attendaient debout. Eh bien, il y avait des familles entières qui étaient confortablement installées sur les chaises : le père, la mère, les frères et les soeurs (oh, oh... si j'avais un marteau...oups, je m'égare), la grand-mère, le grand-père... bref, ça prend allègrement toute une série de sièges alors que seul le petit dernier,  dans sa poussette, qui est malade. Et puis, à propos de lui... en général, au début, il est sage. Il a son biberon, son doudou et tout va bien. Mais, à chaque fois, faut que le grand frère ou la grande soeur (sont pires les filles !) aille l'emmerder jusqu'à ce qu'il se mette à hurler transperçant les tympans des autres patients déjà mal en point (s'ils sont là, c'est pas par plaisir, en général). Les parents, dans ces cas-là, font mine d'être absorbés par la lecture de magazines féminins passionnants, style "Non, c'est pas à moi ces gosses, me regardez pas comme ça...". Ou alors la variante c'est la mère qui murmure d'un ton blasé "Lauriane, arrêêêête d'embêter ton frère." sans effet, évidemment vue la conviction qu'elle y met... Et là, quand t'as un mal de crâne incroyable t'as bien envie de dire à la Laurianne et à sa mère ce que tu penses d'elles... mais comme tu es polie, tu te retiens.

    L'autre jour, c'était pas mal aussi : y'avait une petite fille de deux ans en gros qui était bien sage, ma foi (je crains toujours le pire quand il y a des gamins !). Et avec elle ses parents, moyenne d'âge 20 ans, qui chahutaient sur les sièges sous le regard médusé de leur fille qui rapidement a préféré aller s'occuper d'un bébé qui venait d'entrer avec son père. 

    Et puis, modernité oblige, il y a ceux qui à peine arrivés sortent leur téléphone portable et envoient sms sur sms, l'air profondément concentré (au moins, ceux-là foutent la paix...). Après, on a le p'tit minet sûr de son look et de sa beauté qui s'affale sur le siège, jambes bien écartées, qui s'étire et baille bruyamment avant de mettre ses écouteurs le plus fort possible (ça manque de musique par ici, c'est vrai mais bon, le rap, pas top...). Enfin, il y aussi celui ou elle qui se met à te fixer. Tu sais pas pourquoi mais au bout d'un moment, tu sais plus où te mettre pour avoir la paix, surtout que les magazines people ou politiques, tu les as déjà lus trois fois (ben oui si t'as déjà attendu deux fois 45 minutes avant, t'as eu le temps...).

    Donc, voilà mes aventures de salle d'attente. Si vous en avez, n'hésitez pas, j'adore ça...


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  • Un petit coucou rapide pour vous dire que je ne suis pas (encore) morte (désolée pour ceux que ça déçoit, si, si, y'en a  lol)... Bon mon état général n'est pas terrible mais au moins, j'arrive à avoir le courage de passer quelques minutes à l'ordi. 

    Pour vous expliquer brièvement : au départ, j'ai eu un simple rhume. Comme la dernière fois que j'étais allée chez mon médecin pour un rhume, il m'avait dit que c'était franchement pas la peine de venir juste pour ça (surtout que je fais un métier facile, qui ne demande pas beaucoup d'efforts physiques), eh bien, cette fois-ci, j'ai attendu que ça passe tout seul, avec un anti-rhume ("la vie continue, pas le rhume", je crois que c'était ça leur slogan), bien pratique pour continuer à faire cours sans avoir le nez qui coule sans arrêt (ça a beau être un métier facile, parler 7h quand on éternue toutes les 2 secondes, c'est pas top !) Sauf que l'anti-rhume, ça guérit pas, ça bloque (il m'a expliqué ça le médecin, après...)... et ce que j'avais oublié c'est que depuis un an, j'ai un traitement assez lourd qui bloque mes défenses immunitaires, donc, pas moyen de me battre contre ce rhume-bronchite... Résultat : méga sinusite, gigantesque, incontrôlable, méga bronchite... bref, le p'tit rhume s'est transformé en giga truc qui crève... Mon médecin, que j'ai fini par aller voir me dit que je suis venue beaucoup trop tard(non, sans blague, la faute à qui ?) et qu'avec le traitement que j'ai, il faut faire gaffe... Ben oui, mais je savais pas moi... Il râle un coup parce qu'on ne peut pas me donner de cortisone (dommage... ça m'aurait bien arrangée).Cherche un antibiotique compatible avec le dit traitement lourd. Il en trouve un... Sauf qu'il n'est pas compatible avec mon estomac (ben oui, mon estomac a certaines exigences, que voulez-vous...) 

    Donc, ce soir, je retourne essayer de trouver un autre antibiotique, que je supporte et qui ne va pas provoquer de dégâts majeurs vu les trucs que j'avale par ailleurs (vous savez, Hiroshima, j'en ai parlé l'autre jour)... Bref, c'est galère...

    Je voulais remercier les quelques personnes qui se sont inquiétées de mon état de santé. Je ne vous promets pas de revenir dès demain... car, tout le monde le sait, demain est un autre jour et par conséquent un mystère pour moi. Mais bon, c'est quand même pas un virus de merde qui va m'anéantir ! Quand j'irai mieux, je repasserai aussi sur vos blogs en y laissant des commentaires (intelligents ? Je vais essayer...), c'est promis. Je ne vous ai pas oubliés, loin de là mais j'avais franchement pas le courage ces derniers jours...

    J'espère pouvoir reposter des articles régulièrement. En attendant, prenez soin de vous...
    à bientôt !


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    • malade.gif Je passe en coup de vent, pas en courant d'air parce que ça risquerait d'aggraver mon état. Mais euh, j'avais fait le vaccin contre la grippe alors, y'a pas intérêt que ce soit ça... MAis non ! Une grippette tout au plus...Alors, je crache mes poumons (ou ce qu'il en reste), j'ai mal aux abdos à force de tousser, j'ai un torticolis à force de pas trouver de position dans mon lit... Bref, tout est cassé ! Je suis comme le nounours, en plus j'ai même un pyjama à carreaux comme ça, si, si... bon, moi mes chaussons sont roses, mais j'suis une fille, alors c'est normal. Donc, j'ai un peu la tête vide d'où ce message sans grand intérêt hormis de vous expliquer pourquoi j'ai la tête vide et pourquoi je ne me lance pas dans un article hyper détaillé.

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  • Hier soir, c'était la fête populaire par excellence, le bal populaire du 13 juillet. Majorettes et fanfare, buvette et DJ pour animer la soirée. Se retrouvaient sur la place du village des gens divers et variés réunis pour danser et s'amuser. Là, des gens en couple, en famille, entre amis. Je les ai observés pendant un long moment, moi l'éternelle célibataire  qui de temps en temps aimerait  être comme tout le monde. J'ai regardé ces gens, ces inconnus et à aucun moment je ne me suis imaginée avec l'un d'entre eux... même ceux qui étaient en couple, je ne me voyais pas "avec eux". J'avais l'impression que leur comportement, leurs attitudes, leur langage, leurs sujets de conversation étaient diamétralement opposés aux miens ou à ce que je recherche chez quelqu'un. Personne n'a trouvé grâce à mes yeux. Comme si j'étais étrangère à ces gens, comme si je n'appartenais pas à leur univers, comme si j'étais d'ailleurs et qu'aucune rencontre n'était possible. Moi sur ma planète, eux sur la leur... Incompatibles, inaccessibles, inarbodables, intouchables.


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