• Elle était belle cette fille,

    Et je l'enviais

    Quand tous les garçons de la classe 

    La regardaient.

    Elle était gentille cette fille,

    Elle me parlait,

    J'aurais aimé être à sa place.

    Une voisine et rien de plus,

    Juste une copine de bus.

    Elle s'est mariée, a fait sa vie,

    Eu des enfants car le temps passe

    Je n'ai rien vécu, rien connu,

    J'aurais voulu être à sa place.

    Un nom dans mon souvenir, 

    Une jolie fille et son sourire.

    Je viens d'apprendre qu'elle n'est plus...

    Et j'aurais pu être à sa place.

     


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  • Quand j'avais des soucis au collège, en tant qu'élève, au point d'essayer de me planquer au maximum pour ne surtout pas attirer l'attention aux récréations, je n'ai jamais espéré d'aide. Ni des profs, ni des autres élèves, ni du directeur, ni de mes parents à qui je cachais ce qui se passait. J'en voulais à certains profs de me forcer à aller au tableau sachant que j'allais entendre des commentaires derrière mon dos. Je me disais qu'ils pourraient éviter de me mettre dans cette situation mais, d'un autre côté, ils ne faisaient que leur travail. J'aurais sans doute bien aimé être sous la protection de quelqu'un mais ça ne s'est pas fait. Les profs avaient-ils idée de ce que je subissais ? Probablement pas. A l'époque, on ne parlait pas de harcèlement. On ne parlait pas de ces choses-là et les souffrances psychologiques ne touchaient pas grand monde. C'était marche ou crève... mais en silence. 

    Aujourd'hui, des gamines se suicident parce qu'elles sont harcelées. On leur dit qu'elles sont moches, qu'elles devraient se tuer, qu'elles ne servent à rien. On le leur assène au collège mais surtout sur les réseaux sociaux. La mère de l'une d'entre elles porte plainte contre l'Educ'Nat'. Je comprends qu'elle en veuille au monde entier et qu'elle se dise que quelqu'un, au collège, n'a pas fait son job. Que savaient les profs au juste ? Que pouvaient-ils faire concrètement ? Et l'administration ? Sans doute, punir les harceleurs, oui, bien sûr... mais, hélas, le harcèlement ne s'arrête pas simplement parce qu'on les punit. Les renvoyer ? Oui, aussi... on aimerait bien, parfois, que certains élèves soient virés lorsqu'ils dépassent les bornes mais on ne renvoie pas comme ça de nos jours. Les parents de cette jeune fille disent que les surveillants ont assisté à des scènes de véritables maltraitances... Certainement. Le souci c'est que les jeux dans la cour de récré sont devenus violents, souvent. La façon de s'exprimer l'est aussi, tout le temps. Il n'est pas rare d'entendre des amies qui s'aiment plus que tout selon elles, se traiter de tous les noms d'un air pas forcément aimable... Les codes sont brouillés. Il m'est arrivé d'intervenir en classe et de constater qu'en fait, c'était juste un jeu. J'avais l'air plus ridicule qu'autre chose. Alors, dans le doute... et puis, les vrais harcèlements, graves, je ne crois pas qu'ils se passent sous notre nez. Les filles, par exemple, sont souvent dans les toilettes : je n'ai jamais trop compris pourquoi cet endroit les attirait autant... à part le fait de s'isoler pour être tranquilles ou au contraire pour, peut-être, régler des comptes. Surveillants ou profs, nous n'allons pas les suivre aux toilettes... 

    Ensuite, on nous expliquera que nous devrions être capables de repérer qui ne va pas bien dans la classe. Ouais... mais là encore, comment démêler le "grave" du "pas grave" ? Lorsqu'une élève semble désespérée, souvent, c'est juste que son petit copain ne lui a pas parlé à la récré... ou que sa copine a parlé à une autre fille et deux heures après, tout va bien. D'autres ont des soucis à la maison. On en est informé... ou pas. Et puis, nous n'avons pas tous des talents de psychologues... puisque, contrairement à la croyance populaire, nous n'avons aucune formation, à part quelques cours sur les bébés à la fac... c'est pas avec ça qu'on ira loin. 

    Je connais des collègues très perspicaces pour ces choses-là. Ils voient, ou savent, ou sentent quand un élève ne va pas bien. Moi pas. Pas bien. Mon expérience fait que j'ai vu beaucoup de gamines pleurer à chaudes larmes en classe puis être pliées de rire quelques minutes plus tard, dans la cour, avec leurs copines. Je suppose que ce sont les conséquences de l'adolescence... Je suis prof... pas mère, pas psy et je ne pense pas que les enfants aient envie de se confier à moi. Ils ressentent que je ne suis pas très "réceptive". Et puis, avec eux, comme avec les adultes, je n'ose pas. J'ai peur de faire une gaffe... Je suis plutôt maladroite, je pense et les fois où j'ai essayé d'être "à l'écoute" d'un élève parce que j'avais l'impression qu'un truc n'allait pas, il m'a gentiment répondu que tout allait très bien, qu'il n'y avait aucun problème puis m'a tourné le dos... Et en effet, quelques heures plus tard, ça allait. 

    Il se passe certainement des choses graves dans les établissements scolaires et je suis sûre que des enfants souffrent de ce que les autres leur disent... sauf que c'est beaucoup plus violent qu'à mon époque. Les insultes vont plus loin. On "joue" facilement avec les menaces de mort (chose que je n'ai pas connue, heureusement) parce que l'époque est violente et que c'est "amusant" de faire flipper les plus faibles.

    Et on ne le dira jamais assez : les réseaux sociaux entretiennent ce climat. De mon temps, lorsque j'étais rentrée chez moi, c'était fini. Je n'avais plus à subir les attaques et autres moqueries. Je savais que le lendemain ça repartirait pour un tour mais j'avais un peu de répit. De nos jours, il n'y en a plus. Pour être à la page, nos jeunes ont des téléphones portables, vont sur Fb et les autres réseaux pour se faire mousser ou se faire humilier (ils n'y vont pas dans ce but mais c'est ce qui arrive, hélas, à ceux qui n'ont pas la chance d'être populaires mais qui veulent faire comme les autres). L'un de leurs préférés actuellement c'est ASK... et là, n'importe qui peut publier anonymement les pire saloperies... je suis allée voir. C'est d'un niveau absolument lamentable. FB à côté c'est de la grande littérature. 90% des messages sont, comme sur FB, des notes qu'ils se mettent sur leur beauté... ou celles des autres élèves du collège et le reste ce sont des insultes et, en effet, des phrases du genre"Tu sers à rien, va crever", "va te pendre tellement t'es moche"... et ensuite des trucs de Q, évidemment. C'est immonde. Certaines gamines n'ont pas la moindre conscience de ce qui peut les attendre. 

    Curieuse comme je suis, je me suis demandé comment ce truc était paramétré donc, j'ai créé un compte. Je me disais que c'était quand même une sacrée escalade que d'avoir mis en place un site où tout est permis de façon anonyme. Sauf que j'ai découvert qu'on peut cocher la case "ne pas accepter de commentaires anonymes". Donc, c'est un choix que font ces gamins : ils acceptent qu'on vienne les insulter. Ou alors, ils n'ont pas été consulter les paramètres, ce qui est possible aussi. Par défaut, cette case est décochée, sinon c'est pas drôle. Comme FB, c'est interdit aux moins de 13 ans mais les enfants ont droit à leur profil dès le CP ou presque... Enfin, pourquoi les parents ne surveillent-ils pas ce qui se passe sur internet pour leurs enfants ?

    Internet n'est pas une nounou bienveillante, loin de là... Quand je vois ce que postent certains gamins, je me dis que si leurs parents le voyaient, ils seraient contraints et forcés de constater qu'ils n'ont pas mis au monde des petits anges. Ou, simplement, que leur enfant est maltraité et humilié sur le net... Là, ce qui se passe à la maison, sur les téléphones portables, les profs n'y ont pas accès que je sache. On nous truciderait si on allait regarder les sms de nos élèves ! Vous imaginez l'atteinte à la vie privée, tout ça, tout ça... Mais les parents ? Tant qu'un enfant n'est pas majeur, il me semble que les parents ont un minimum de droit de regard sur sa vie, non ? Ce n'est pas de l'intrusion, juste de la protection. Leur rôle aussi est là. Les infos que leurs enfants ne leur dévoilent pas, ils peuvent y avoir accès s'ils le souhaitent, en cas de doute ou juste pour s'assurer que tout va bien. Surtout si c'est eux qui payent le portable... 

    Avant, on écrivait notre journal intime et on n'aurait pas voulu que nos parents mettent la main dessus... mais notre journal intime était intime. C'est là toute la différence. De nos jours, beaucoup de parents se disent que c'est un peu pareil, les réseaux sociaux, qu'il ne faut pas y aller parce que ça viole l'intimité de leurs enfants... sauf que leur intimité, elle est déjà violée par des centaines de personnes qui n'ont pas forcément de bonnes intentions ! Ce n'est plus pareil... là, lorsqu'un gamin poste une photo et se fait insulter par tout le collège et plus si affinités, les parents se doivent de faire quelque chose. On n'est plus dans le domaine intime... On est dans l'humiliation publique. Donc, suppression du compte FB ou autre, gestion de l'accès à internet et au téléphone portable. Je ne dis pas que ça résoudrait tout mais au moins, ça ne serait pas perpétuellement alimenté, du matin au soir, voire la nuit. Si le souffre-douleur ne donne plus rien pour se faire battre en dehors du collège, ça devient moins intéressant déjà... ça ne résout pas, ça limite un peu et ça s'enflamme moins ou ça enflamme moins de monde d'un coup !

    J'ai vu des gamins qui postent des photos, pour faire comme tout le monde et qui s'en prennent plein les dents. A eux, on ne met pas "tu es magnifique" une cinquantaine de fois mais tout le contraire au moins autant de fois. Certains arrêtent du coup de poster mais malheureusement, je pense que d'autres continuent au point d'en arriver à des extrémité tragiques, où, poussés à bout, ils finissent par faire ce qu'on leur conseille. C'est con mais ça se comprend. Qui peut le prévoir ? Qui peut l'empêcher ? Qui peut arranger les choses ? 

    On n'a pas fini d'entendre ce genre de nouvelle parce que le phénomène des réseaux sociaux va en s'amplifiant et même si FB a fini par lasser, ceux qui prennent la relève dont bien plus dangereux... et trop de parents n'ont pas conscience de ce qui se passe dans la vie numérique de leur enfant. Ce qu'ils considèrent comme une simple distraction prend une importance considérable dans la vie des gamins qui mangent, boivent, dorment, respirent "internet" et meurent parfois de ces échanges lorsqu'ils deviennent cauchemardesques. 


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  • Pov tite chose !

     

    Trouvé sur une page qui propose un best of de copies drôles. Mais, évidemment, dans les commentaires voici ce que l'on trouve :

     

    "belle écriture, soigné" : c'est joli, on est dans l'apparence. Comme l'apparence va, tout va... ça méritait un 20 !

    "ce petit a peut-être des soucis dans la vie" : oui, comme la plupart des psychopathes qui ont eu une enfance malheureuse et du coup, ils ont le droit de tuer, violer, torturer, il ne faut pas leur en vouloir... Justification ridicule. J'ai des élèves qui ont des vrais soucis dans la vie et qui ne se permettent rien de tel, jamais... au point même qu'on finit par oublier leurs soucis, qui pourtant sont bien réels, ceux-là. Et puis, qui n'a pas de soucis ? Peut-être le prof en a-t-il aussi, des bien graves et bien réels et que, malgré tout, il fait face sans rien montrer. Et ouais, des fois aussi, les profs vont mal... et pourtant, on ne s'en préoccupe jamais.

    "le gosse, il peut se pendre" : mais bien sûr... une copie comme ça, c'est le prof qui le pourrait mais qui ne le fera pas parce qu'il en a vu d'autres et en verra d'autres et surtout parce que sa vie ne dépend pas d'un élève... La réciproque est tout aussi vraie : la vie de l'élève ne dépend pas d'un prof ou d'un commentaire qui, de plus ne fait que constater des choses sur le travail de l'élève. Il ne travaille pas, il demande une 1ère S alors qu'il a un niveau catastrophique en physique et le prof demande un rendez-vous avec ses parents. La belle affaire... s'il faut se pendre pour ça !!! Si le gosse devait le faire ce serait plutôt parce que sa copine lui a posé un lapin ce jour-là. S'il ose écrire ça sur une copie c'est qu'il n'a pas peur de grand chose et que l'école ne l'émeut pas au point d'aller se suicider.. 

    Et puis, merde, c'est quoi cette manie d'aller se pendre à tout bout de corde ? L'autre jour encore la gamine qui va se pendre parce que sa mère lui avait refusé je sais pas quoi... Des fois, je me dis que certains pensent vraiment que c'est comme dans les jeux video, qu'on meurt et qu'on revient après pour dire à ses parents ou  ses profs : "t'as vu, la dernière fois que tu m'as emmerdé, j'me suis pendu... gaffe si tu recommences !". Et, le pire c'est que certains abrutis comme ce Thomas cautionnent ce genre de trucs. Quand je pense à tout ce que mes profs ont pu me dire ou même à ce que ma mère a pu me balancer quand elle était en colère (pas souvent mais quand même, c'était pas le genre avec qui tu peux jouer au con), j'aurais pu dévaliser un magasin de cordes ! Eh ben ouais, c'est contrariant, c'est vrai... La preuve, j'm'en souviens encore ! Mais me tuer pour ça, ça ne m'est jamais venu à l'esprit ! Je trouve ça d'un ridicule achevé ! (c'est le cas de le dire !) 

    Pauvres chéris, la société vous réserve bien d'autres raisons de vous zigouiller qu'une pauvre remarque d'un prof sur une copie... vous feriez mieux de vous prépaper à les affronter parce que, partis comme ça, c'est franchement pas gagné !


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  • Tunnel, la série.15 millions d'euros... C'est le budget pour la nouvelle création originale de Canal... Oui, parce que Canal se targue de diffuser des séries différentes et donc carrément meilleures que TF1, F2 ou M6. Bah, tiens ! Depuis plusieurs semaines, on nous faisait piaffer d'impatience en nous montrant des extraits avec la voix effrayante digne des meilleurs thrillers américains. Mais, n'est pas américain qui veut. Je reste persuadée qu'ils sont meilleurs que nous et ce n'est pas cette série qui me fera changer d'avis. Enfin, je ne crois pas. Il n'y a que les imbéciles qui... vous connaissez la suite, alors, sait-on jamais... mais quand même...

    L'histoire démarre pas mal : un cadavre est retrouvé dans Tunnel sous la Manche (d'où le titre, of course), ses jambes (enfin, pas tout à fait ses jambes mais bon...) du côté anglais, le tronc du côté français. Les enquêteurs déboulent et hop, c'est parti... 

    Ben, pas tant que ça en fait... ça part pas trop trop et puis alors, surtout le jeu des acteurs est... comment dire... mauvais. A force de ne pas vouloir mettre à l'écran des héros héroïques beaux, forts et sympathiques pour pas faire comme les USA, forcément, ça donne ça : une héroïne parfaitement antipathique, détestable au point qu'on aimerait mieux que ce soit elle le cadavre pour qu'on en soit débarrassé ! J'ai eu envie de lui foutre des claques pendant les 2 épisodes : malpolie, prétentieuse, asociale... jamais un sourire, rien. Aucune once d'humanité. Et une façon de s'exprimer à  la limite de l'audible... On nous laisse entendre qu'elle a eu des malheurs dans sa vie donc je suppose qu'on va nous sortir de truc de la fille tellement brisée, qu'elle ne peut plus vivre comme tout le monde (sauf que si c'est ça, les Américains l'ont déjà fait, et toc !) L'autre personnage, l'Anglais, ça va à moitié... Il est en tout cas souriant et agréable mais il faut qu'il le soit pour deux, forcément... 

    C'est pas la 1ère fois que je remarque ça sur Canal : essayer de faire différent au point que ça devienne ridicule parce qu'en fait, j'ai passé mon temps à me dire "Ah, ils ont pas voulu faire ça donc ils ont fait le contraire"... ce qui au final ne donne pas une création originale mais plutôt une recréation à l'opposé "juste histoire de dire qu'on n'est pas pareil". 

    Le 2e épisode s'est terminé sur un truc intéressant... je regarderai donc le 3e pour savoir quand même ce qui se passe. On ne sait pas, c'est peut-être simplement la mise en place qui est longue... très longue...  mais, je pense que si les personnages n'évoluent pas un peu, ne serait-ce qu'en se sentant un tout petit peu plus concernés par ce qui se passe, je ne poursuivrai pas et ne verrai jamais le bout de ce tunnel. 

     


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  • A tous ceux qui pensent que l'informatique est la solution d'avenir pour les élèves parce qu'il faut vivre avec son temps et gnagnagna...

    Avant les vacances, j'avais créé un exercice sur le logiciel que nous utilisons désormais pour nos notes et cahiers de textes. J'avais dit à mes élèves de 6e de tester cet exercice pour me dire si ça marchait bien. Donc, pas un truc qui leur met la pression qui les stresse à mort, hein. Juste un petit exercice où il fallait retrouver les infinitifs de verbes conjugués. 

    50% l'ont fait, en gros (oui, c'est déjà pas si mal, je sais...). Florilège des excuses invoquées :

    - l'ordinateur était en panne.

    - l'ordinateur est bien trop vieux pour ce genre de chose... (bizarre, sur mon dinosaurus du collège qui date de 2000, ça fonctionne très bien...)

    - le mot de passe ne marche pas.

    - le mot de passe est perdu.

    - l'ordinateur s'est éteint d'un coup, comme ça, quand l'exercice a commencé ! (réaction allergique sûrement...) et après, ben, ma mère a eu peur et on n'a pas réessayé (tu parles !)

    - plus d'électricité le jour J (ben oui, la tempête, quoi...)

    - pas trouvé où c'était (il y a un lien sur lequel il faut cliquer... la prochaine fois, je mettrais le logo de FB pour les attirer)

    - ma mère a pas compris alors j'ai pas pu faire (ça, c'est le pompon de la pomponnette, je trouve)

    Deux élèves m'ont dit qu'ils avaient oublié de le faire et une a préféré faire sur son cahier (comme quoi, c'est dans les vieux pots...)

    Le pire dans ces excuses qui, pour les 3/4 sont évidemment bidon, c'est que c'est tout à fait possible. Quiconque a déjà eu des démêlés avec un ordinateur sait que ça ne fonctionne pas toujours à la perfection ces machines-là. Alors, moi, l'ère du tout numérique qui arrive à grands pas, je veux bien mais il faudra bien être conscient que nos têtes blondes, brunes et rousses passeront davantage de temps à trouver la nouvelle excuse qui justifiera l'absence de boulot qu'à faire le dit boulot... Remarquez, avec les bonnes vieilles méthodes, il y a aussi plein de bonnes raisons, entre le chien qu'a tout bouffé juste le matin où il fallait rendre le travail et la p'tite cousine qui a dessiné dessus puis tout déchiré, c'était pas non plus vérifiable... mais, disons que le doute était vraiment permis et légitime. A présent, on ne pourra jamais savoir ce qui est vrai ou pas puisqu'on est bien placé pour savoir que ça peut vraiment arriver. Les pov z'enfants, vont avoir bien des misères pour faire leur travail sérieusement... 

     

    ps : et je ne vous parle pas de l'imprimante qui tombe en panne le jour où il faut rendre l'exposé, la clé usb qui a lâché ou qui est perdue pile ce jour-là, les parents qui n'ont pas eu le temps d'acheter l'encre... 

     


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